Corpus de la recherche personnelle
D’abord, j’ai commencé par chercher quelques informations générales qui concernent la pression et les maladies de ce facteur, pour avoir un point de départ, après, j’ai suivi les indications de Madame Diaconu Vasilica, notre professeur référent et enfin j’ai commencé mon travail de recherche proprement dit. Dans mon travail de recherche j’ai suivi les aspects suivants : la liaison entre la pression et l’organisme humain, les affections causées par la pression pendant le vol.
Le corps humain est construit de manière à fonctionner normalement au niveau inférieur de l’atmosphère où l’air est très dense. Les aéronefs sont conçus pour fonctionner à des hauteurs élevées, où la densité est faible, en exposant le pilote et d’autres personnes au manque d’oxygène. Ainsi les organes du système respiratoire et l’environnement interne (le sang, le lymphe, le fluide intercellulaire) supportent des variations soudaines de pression.
L’hypoxie
L’hypoxie est une condition pathologique qui implique un apport insuffisant d’oxygène dans l’organisme. Elle peut paraître au niveau de tout organisme où au niveau d’un tissu. À cause de la basse pression à l’altitude, l’oxygène se dissipe moins par les alvéoles pulmonaires dans le sang. Les symptômes de l’hypoxie sont : l’état d’euphorie, les mouvements lents dus à la difficulté de contraction musculaire, la somnolence, le pouls élevé, les extrémités (les doigts, les lèvres) deviennent cyanotiques et enfin la perte de conscience.
La prévention et le traitement consistent à augmenter l’apport en oxygène à travers le masque d’oxygène.
L’ hyperventilation
Le syndrome d’hyperventilation est un trouble respiratoire qui peut présenter une douleur thoracique, des paresthésies ou des attaques de panique. L’activité physique et cérébrale pendant le vol entraine une augmentation du rythme respiratoire. Les patients souffrant d’hyperventilation ont tendance à respirer en utilisant la partie supérieure de la poitrine, impliquant des muscles intercostaux. De ce fait, le volume des poumons augmente considérablement et il y a un état d’inconfort pendant la ventilation pulmonaire. Ce symptôme semble provoquer la peur de vol : quand le système nerveux végétatif sympathique stimule la fréquence du rythme respiratoire, la personne a la sensation d’arrêter de respirer.
L’hyperventilation peut être prévenue en réduisant consciemment le rythme respiratoire, dans ce cas, la communication est une méthode efficace.
Conclusion de la recherche:
Il y a une forte relation entre la pression et les réactions de l’organisme. La diminution de la concentration de l’oxygène dans le sang ou l’augmentation de la ventilation pulmonaire affectent le bon fonctionnement du corps humain. De plus, cette activité de recherche a été une expérience intéressante, complexe qui à la fin, nous a vraiment donné de la satisfaction. Suite à ce projet, j’ai gagné plus de responsabilité, d’ambition et d’expérience dans le travail d’équipe.
Bibliographie/Sitographie :